Regardons là haut, ça inspire.
Après la promenade, entièrement sous l'averse. Il a suffit que l'on rentre pour que la pluie cesse.
Hakim et Sofia, serveurs au Bistro du 9ème.
à la Cité internationale, pour changer.
Le savon est rose, un signe?
De la boulangerie rue Didot.
Avec le fidèle Gus.
à la cité internationale.
Rue des thermopyles.
Surprenant, agréable pour une machine qui interdit l'entrée.
Et une petite partie de Gustavio.
Sur le vif.
Alors je ne vois pas grand chose. J'ai perdu mes bonnes lunettes cet été, et ma paire de secours fait de vilains reflets.
(le jardin).
Elle est Finlandaise. Elle est arrivée la semaine dernière à la cité internationale. Elle étudie l'ingénierie environnementale. Il est 7h, elle a passé la nuit au Rex Club. Elle va se coucher, ou peut-être se faire un café. Moi c'est un café, et pas le...
Cette lumière vient de l'enseigne qui se trouve derrière nous.
Je veux bien photographier quelqu'un d'autre, mais je n'ai rencontré que moi. Et puis, parfois, je m'aime bien.
On ne les voit pas toutes. les bouchons m'ont de nombreuses fois donné l'occasion de les compter. Je préfère le chantier à la réalisation. les perspectives sont plus nombreuses.
Hier, j'ai eu le temps pour un autoportrait. Je peux aussi prendre des photos de mes compagnons d'infortune. Plus difficile, et je n'aime pas trop voler les images (même si elles sont souvent plus croustillantes).
tendre est la mie.
Eviter d'en prendre chez quelqu'un qui n'en boit pas.
Les bassets sont très utiles, et parfois là où on ne les attend pas.
Fin de promenade, et début de journée.